Ce matin dans le couloir menant à mon bureau.
Un homme de peut être 50 ans parle à son subordonné en lui tendant quelques feuillets d'une longue note :
"Bon, il faut me corriger cela. Je ne l'ai pas lu mais il y a des choses qui ne vont pas"
Merveilleux.
1 comment:
Ma semaine démarre bien, alors que je clique sans conviction sur le signet Roubaudi qui me permettait d’accéder directement à ton blog, (ce que j’avais l’habitude de faire plusieurs fois par semaine) avec la peur de retomber une nouvelle fois sur le laconique message annonçant la clôture de celui-ci, je tombe avec ravissement sur « le tout beau tout nouveau »
Roubaudi ! que de la gueule ! ça fait deux fois que tu dis que tu arrêtes et même pas cap de tenir ta décision ! Avoue que tu as supplié de laisser les éboueurs de te laisser fouiller le lendemain dans leur camion (au risque de salir ton beau costume) lorsque tu as jeté sans réfléchir ton dernier manuscrit…
Aucune constance, tu es décidément lamentable, mais continues, je t’en supplie… ;-)
Je regrette juste la perte des archives (des textes comme : « Le génie », ou « Le football Américain » que je faisais lire souvent à des amis)…
Une anecdote absurde un peu semblable à la tienne de ce matin.
Un de mes films est parti au Japon il y a quelques semaines. Ils devaient peut-être faire des modification et dans ce sens, ma cliente me téléphone et me dit : « j’ai reçu un mail, il leur faudrait une version du film sans le son et sans l’image » J’hésite à leur faire parvenir une cassette vierge, ou avec du noir sur toute la durée, mais avant je vais lui dire de parler avec la traductrice du mail…
Bises à tous James
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