Friday, May 11, 2012

CA COMMENCE TOUJOURS PAR L'ESPOIR

Après une journée passée avec mon éditeur à corriger mon dernier tapuscrit, je suis dans un état de déliquescence totale. Mon Dieu que de travail encore !
Comment ais je pu laisser passer tant d'horreurs et de bêtises ? L'aveuglement sans doute. Celui qui s'installe jour après jour, ligne après ligne et qui, le jour ou vous posez le mot fin vous a oté la vue.
Sans recul, sans vision, sans distance, vous ne voyez plus mais etes convaincu néanmoins qu'entre vos mains se niche une oeuvre... Douze heures plus tard, votre éditeur vous a fait découvrir que vous ne teniez qu'un brouillon...
La facilité serait de lui en vouloir... Et je lui en veux ! D'avoir raison.
Bon... maintenant faut se remettre au boulot. Transformer ce truc en un roman.
"Vous avez, un sujet, une histoire, des personnages, de belles scènes... vous n'avez plus qu'à l'ecrire" m'a t-il dit en guise d'encouragement.