Monday, May 25, 2009

L'ARGENT EST IL CONTAGIEUX ?

A cette question métaphysique d'importance, mon pote l'Epicier m'a répondu non. L'argent n'est pas contagieux... il ne se passe pas, il se prète et encore avec usure. Par contre l'argent est un agent de la parthénogenèse. Il se reproduit lui même dans la poche des riches.
Dernière chose, l'argent est un être social et sociable. Il propsère dans les comptes en Suisse mais dépérit dans les nourrins des pauvres et fini par disparaître totalement des poches des pauvres.
Et, comme le dirai mon ami HSBC, s'ils étaient moins dispendieux, ls pauvres auraient de l'argent.

Wednesday, May 20, 2009

DE L'EMOTION SANS DOUTE FACILE

Sur youtube, je regarde Britain's got talent. Un télé crochet en public.
On y cotoie le pire et l'extraordinaire... des tronches à porter de cabas remplis de poireaux dont s'échappent des voix venues d'ailleurs. Des moments qui me donnent la banane.

Monday, May 18, 2009

CADEAU, CADEAU, CADEAU.

Pour les 3 ans de son filleul, qui est également mon fils, mon pote l'Epicier lui apporte un cadeau.
Une superbe cadre en bois dans lequel 9 ampoules changent de couleur de manière aléatoire suivant un rythme étrange.
Un très bel objet.
Mon fils, après avoir fait voler l'emballage et trépigner d'excitation, s'arrête net devant la lampe :
- C'est un cadeau ça ?

Thursday, May 14, 2009

OBESE OR NOT OBESE

- Enfin, enfin... je ne suis pas obèse bon Dieu.
- Ecoutez monsieur Roubaudi, vos problèmes de vues ne regardent que vous. Pour l'académie de médecine vous êtes obèse. Et tant que vous serez obèse nous ne commencerons pas le traitement.
- Mais je ne suis pas obèse bon sang ! Je suis, je suis...
- Gros.
Mais qu'est ce que c'est que cette médecine moderne !

Wednesday, May 06, 2009

T'ES GENTIL TOI

Depuis quelques semaines mon fils Melchior me caresse à l'occasion le visage de sa petite main potelée et me dit : T'es gentil toi.
A chaque fois mon coeur fond dans ma cage thoracique.

Avant hier j'ai eu une crise terrible et j'ai passé trente six heures dans mon lit, englué de susuer, de fièvre et de douleurs au foi.

Lorsque je me suis relevé mon fils qui était venu plusieurs fois me voir pour me demnder si j'étais malade, s'est approché et a caressé mon visage.
" T'es gentil toi... tu sens mauvais, mais t'es gentil"
Mon coeur a fondu quand même.