Thursday, August 20, 2009

VACANCES

Elles touchent à leur fin les belles vacances.
Trois semaines à finir la maison.
Trois semaines de soleil... sans voiture... sans bruit...
Si le retour au boulot ne me chagrine pas, retrouver Paris me pète le cul.
J'en ai ras la casquette de cette ville.
J'ai envie de continuer à prendre le temps.

9 comments:

philippethomas said...

Le vent se lève! . . . il faut tenter de vivre!
L'air immense ouvre et referme mon livre, La vague en poudre ose jaillir des rocs!
Envolez-vous, pages tout éblouies!
Rompez, vagues! Rompez d'eaux réjouies, Ce toit tranquille où picoraient des focs!

Paul Valery .... si cétait de moi, je me la péterai trop du cul comme dirait mon Roubaudi, Hélas .....

bilbo_moria said...

Perso, je crois que mon taf me fait encore plus chier que Paris ...

Jean-Charles said...

Mais tous les parisiens prennent leur temps ! Avec un métro toute les 2 minutes, 1 taxi tout les 20 mètres et des kiosques tout les 50mètres, une autoroute qui entoure la ville, 6 gares et 2 aéroports internationaux, sans compter des MacDo, des monoprix, des Fnac où l'on compte les caisses par dizaine... le parisien dispose de tout, partout et tout le temps, ce qui lui laisse tout son temps pour tenter de prendre son temps...

Pascal Issimo said...

Tu as des idées Ludovic. Tu es un créateur. J'aime ça. Un jour tu seras libre. En attendant, si un chemin te "pète le cul", prends-en un autre. Je sais, tu l'as déjà fait, plusieurs fois ; (oui, on se connait, mais c'était avant). Paris est merveilleuse, si des millions de personnes s'y perdent en courant, d'autre y jouissent en prenant le temps.
Bien à toi.
Pascal

Anonymous said...

Moi, même avec un mois entier de vacances dans la verdure,
Tout me fait chier, c'est ma nature.
Et sous ce grand ciel bleu qui fait rêver,
Je ne puis encore m'affranchir de ce foutu sentiment d'inachevé.

Anonymous said...

Bon, si je comprend bien tu dois être en train de pousser des wagonnets à 20, 30 et même 50 métres sous terre pour prévoir l'extention du métropolitain ! non ? Ha bon !

Pie borgne said...

Il y a des plus et il y a de moins, des downs et des ups, quoi, rapport à la rentrée. Down : la baguette à 1€ soit disant Tradi dure comme du bois après quelques heures - enculés de boulangers parigos - alors qu'à la cambrousse la grande baguette est même pas à 80 centimes, qu'elle est de bonne taille et bien moelleuse encore trois jours après l'achat. Down : mon connard de voisin qui balade son foutu york à 7h00 du mat et qui porte son futal blanc de plage et son tee-shirt rose bonbon. Down : ça pue dans l'métro ce mélange de sueur, de pisse et de poubelles en décomposition que je ne pensais pas être capable de sentir à nouveau. Down : les foutus RER de la ligne B toujours à la bourre pour problème d'exploitation, panne de, etc. Up : mon pc que je retrouve intact, ma bibliothèque, le blog de roubaudi qui est toujours là bien vivant !

Anonymous said...

Bonjour !
J'ai lu 'Chiens écrasés'. Je ne suis pas une grande lectrice,les contemporains m'ennuient vite avec leur nombril comme unique horizon. J'aime l'imagination et les bons dialogues. Votre livre ne m'a pas ennuyée, au contraire ! j'ai eu envie de le lire d'un coup. J'ai vu un film. Pas vous ?

Anonymous said...

besoin de verifier:)