Au même titre que les médias citent chaque jour que Dieu fasse le nombre de jours d'incarcération des journalistes retenus en otages pour nous rappeler les dangers de cette profession, je propose qu'en arrière plan de la chronique boursière on affiche systématiquement le nombre de morts de faim, de soif et de fatigue. Juste histoire de rappeler que s'il est normal de se réjouir des bonnes performances de la bourse, il ne faudrait peut être pas y voir le seul indicateur de la bonne santé de nos sociétés.
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