La crise à un avantage : la baisse du coût des matières premières. Un baril qui passe de 135 dollars à 40 aujourd'hui (un peu plus un peu moins je ne sais plus exactement), le minerai de fer qui s'écroule, le zinc qui devisse, la bauxite qui s'effondre... enfin tout qui baisse.
Et comme, en parallèle, les salaires n'augmentent pas, on devrait voir le prix des produits manufacturés baisser à leur tour... du moins la logique du bon connard que je suis l'imagine.
Allez faire vos courses bandes de chiens galeux.
Et vous aurez comme moi la preuve que vous êtes des bons connards !
3 comments:
J'y ai maintes fois songé. Je me suis même exécuté et plus d'une fois. Au Monoprix, j'ai profité des soldes par exemple, comme une vraie pétasse du dimanche qui profite des soldes. Par exemple, j'ai acheté deux futals, l'un à -50% et l'autre à -70% ! En temps de crise, un pantalon à -70% ça vous fait du 20 €. En dehors de ça, c'est le moment pour les vieux de faire des donations entre vifs pour faire baisser les frais. Je parle notamment de l'immobilier, of course. Mon appart avoisinait les 1 millions d'euros il y a quelques mois. On peut faire baisser sa valeur à environ 750000 et donc compenser sur la quote part de ces bâtards du fisc.
D'abord, on n'écrit pas "futals" mais bien "futaux", au pluriel.
N'ensuite, ch'ais pas si c'est un choix du Maître les Lieux, mais être accueilli par le Boss chantant "Street of Philadelphia" est un bonheur. C'est dit, je reste.
Vraiment ce qu'il fallait l'animation ! Ca donne de l'espace à l'espace. Pour ce qui est du vocabulaire, j'aurais dit des futiaux ou des fusieaux. Un peu comme en biftek goose et geese
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