Dîner entre amis hier.
J'ai tenté un truc car j'aime les paradoxes.
Tout d'abord, j'ai amené la discussion sur le football en général et l'arbitrage en particulier. L'avis unanime des convices était que la vidéo était devenu une évidence, et seule la sénilité des dirigeants du football mondial pouvait expliquer son absence des terrains.
A notre époque me disaient ils, il est inadmissible de ne pas tout voir et tout savoir. Seule la vidéo peut régler l'injustice que déclenchent les erreurs d'arbitrage... d'autant plus que les enjeux des clubs sont hyper importants.
Dont acte.
A l'heure du café j'ai lancé le sujet de la video surveillance dans les villes. De manière tout aussi unanime, les convives se sont opposés à son utilisation en prétextant le respect de la vie privée.
A mes questions : peut on accepter aujourd'hui de ne pas tout voir et tout savoir ? Il m'a été répondu non.
Les enjeux de la sécurité publique ne sont ils pas suffisant élevés pour en justifier l'utilisation ? Non !
Des images qui permettraient d'éviter une injustice ne justifieraient elles pas la vidéosurveillance ? Non.
Je leur ai dit qu'à les écouter, je comprenais qu'il était plus grave de se prendre un taquet sur une pelouse que de se faire piquer son sac dans la rue.
Ils m'ont traités de con.
6 comments:
Je me demande ce qu'ils pensent du nouveau scanner qui permet de détecter les armes sur le corps des passagers et qui donne une belle vue sur leurs formes. C'est une méthode plus efficace que les palpations, clair ! Et ça réduit vraiment les risques que des objets dangereux entrent en zone réservée. Mais sans doute préfèrent-ils risquer de se crasher que de montrer leurs culs ou leurs nichons, ouais ?
Jeu / Vraie vie, les enjeux ne sont pas les mêmes. Plus moyen de se faire taper sur la gueule tranquille avec ces cons de réac
t'avais invité qui ? tabata cash ?
Samedi 14 h
Grand défilé citoyen
avenue Henri Martin
pour l'implantation d'une webcam dans la salle à manger de Roubaudi
nous comptons sur votre présence
restons vigilants !
C'était plus rigolo au temps des grosses déconnades "chargés" dans la chambre de Roro.
C'temps là où on écoutait Debra Kadabra avant d'monter sur le toit !
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